23 mai Île de San Pietro

Après un déjeuner copieux, même Serge a mangé comme un ogre, nous allons prendre le traversier pour Carloforte dans l'île de San Pietro. 

6000 habitants vivent à Carloforte qui a été colonisée au 18e siècle par des familles de pêcheurs originaires de Pegli près  de Gênes. C'est une jolie ville adossée à une colline d'où se détachent d'élégantes demeures colorées ornées de balcons en fer forgé.
 

  

 

Sous les lauriers

 

Un système intéressant pour descendre ses vidanges

Aujourd'hui c'est moins  chaud, 18c et venteux. Après un tour de ville jusqu'au haut des remparts, nous allons manger au restaurant Aru, le long de l'étroite rue XX Settembre, tellement étroite que les autos et même un camion nous frôlent en passant. Catherine et Serge sont satisfaits de leurs plats tandis que les calamars de Hugues sont coriaces et ma soupe aux moules est trop salée.
 

Le long des remparts

  

La plage Punta Nera: Google Maps nous conduit sur un chemin privé. On rebrousse chemin sous le regard menaçant du propriétaire, puis on se fie plutôt aux affiches le long de la route pour atteindre la plage publique qui n'est pas très grande.

La plage La Bobba: Fort de l'expérience précédente, on utilise Google Maps jusqu'à ce qu'il veuille nous faire prendre un chemin privé, ensuite on cherche les indications de la plage. La plage est belle, sablonneuse et protégée du vent et il paraît que l'eau était bonne mais un peu trop frisquette pour moi.
 

 

Au retour nous allons  marcher sur le beau sentier en pierres plates "Le Colonne" qui longe la falaise d'où nous pouvons apercevoir des colonnes surgir de la mer.
 

Nous poursuivons notre route vers le Nord-Ouest de l'île jusqu'à Capo Sandalo par une route qui zigzague dans des collines sauvages. C'est le cap le plus à l'ouest de la Sardaigne et il est dominé par un grand phare.
 

Les deux clowns

Nous revenons en fin d'après-midi à  Carloforte où nous avons réservé une chambre pour quatre à l'hôtel Nichotel pour la nuit. Cette nuit, Catherine et Hugues dorment sur le divan-lit, les pas chanceux.